Dévoluy - Reportage BFM DICI

Chacun se présente au journaliste et à son stagiaire qui sont illico mis dans le bain, la tenue de peau étant rapidement adoptée par certains malgré l'air encore un peu frais pour la saison.

Nous avançons à bon rythme sur la piste jusqu'à dépasser la bergerie de Voran : ici, la vue commence à être bien jolie :

A tour de rôle, les volontaires sont interviewés par notre sympathique journaliste Hugo.

Jacques-Marie, en tant que président des MNVR, en profite pour mentionner le fait que l'association est adhérente à la Fédération Française de Randonnée Pédestre et exposer les bienfaits de la randonnue.

En vidéo, le mini-reportage correspondant :

C'est ensuite au tour de Patrice.

Puis de Jac.

Quelques images bonus.

Et nous reprenons notre chemin.

Malheureusement, nos deux journalistes doivent transmettre leurs rushs aux équipes de montage de la chaîne pour une diffusion au journal de midi. Sans réseau, ils sont contraints de rebrousser chemin avant d'atteindre notre but. Nous les remercions pour leur bienveillance avant de les laisser partir.

Je suis un peu déçu de les voir partir avant d'avoir atteint la zone d'alpage, mais c'est le jeu…

Nous poursuivons donc à huit, dorénavant.

Nous passons au pied du chalet de Chazal, déjà habité bien que le troupeau n'ait pas encore amontagné.

La vue commence maintenant à s'ouvrir dans ce superbe cirque dominé par de monumentales falaises.

Nous traversons l'alpage en file indienne pour limiter notre impact sur la prairie (les vaches ne broutent pas l'herbe aplatie) :

Décidément, ce panorama est bien l'un de mes préférés de ce massif du Dévoluy :

A la recherche d'un endroit pour pique-niquer, nous descendons dans le lit du torrent de l'Abéou :

Et forcément, malgré la température de l'eau, les plus courageux ne résistent pas à cette fraîche oasis !

Les meilleures choses ayant toujours une fin, il est maintenant temps de rebrousser chemin.

Un dernier regard en arrière pour en prendre plein les mirettes avant d'entamer la descente :

Chemin faisant, les conversations vont bon train.

C'est notamment l'occasion de prendre des nouvelles de ceux que l'on n'a pas souvent l'occasion de voir.

Nous repassons devant la cabane des bergers.

Oui, je sais, on l'a déjà vue, mais je ne m'en lasse pas…

Face à nous, l'imposante Montagne d'Aurouze :

Nous retrouvons les quelques lacets…

… et la petite zone de montée…

… qui précède l'arrivée à la bergerie de Voran.

Nous retrouvons maintenant la piste quelque peu monotone et caillouteuse qui nous ramène aux voitures.

La vue est ici plus limitée, mais il nous reste tout de même la Tête de la Cluse à admirer :

Arrive finalement le triste moment de l'arrivée aux voitures, celui où il nous faut quitter nos amis après une journée exceptionnelle à bien des égards.

Le résultat du reportage final n'est, lui, pas exceptionnel, mais il contribue à sa façon à banaliser notre activité. Désolé pour la mauvaise qualité de l'image, je n'ai pas réussi à en obtenir une meilleure version :

Je renouvelle une fois encore mes remerciements et ma gratitude à l'ensemble des participants qui venaient pour la plupart d'assez loin et qui ont permis de faire de cette très belle journée une journée exceptionnelle !

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